La perversité de YaYa
L’histoire qui va vous être raconté, ne fait pas partit des contes de fées. On pourrait le croire, certes, mais non. Parce que dans les contes fées on ne dit jamais tout, on ment, on cache l’horreur de certains événements, mais l’horreur fait partie de nos vies, alors pourquoi la cacher ?
Tout a commencé dans en 1984, le 4 janvier de cette année là, un couple de jumeaux voit le jour, deux magnifiques bébés, des homozygotes, l’un était le reflet de l’autre, et vice versa. Larry et Ryan Viqtan.
Leurs parents étaient au comble du bonheur, ce bonheur dura six mois. Mais toutes les bonnes choses ont une fin. Et cette fin arriva à la fin de l’été 1984. Les parents, fêtant leur deuxième anniversaire de mariage, avaient laissé les enfants à une voisine qui était nourrice, afin de fêter dignement cet anniversaire.
C’était une nuit magnifique, le ciel dégagé laissait briller les étoiles, la lune était pleine et lumineuse. Ils n’avaient pas prit la voiture, préférant marcher tranquillement en amoureux. Ils se pensaient invincible, mais face à un camionneur endormit au volant d’un poids lourd, que représente deux être mains dans la mains marchant le long d’un trottoir ? Rien, juste un obstacle minime, infime. Et voilà comment se finit leur anniversaire, ensemble, sous les draps, l’un couché à côté de l’autre. Dans une morgue. Laissant derrière eux deux petits être inoffensifs, seul au monde, sans famille.
Deux petits êtres qui arrivèrent à l’orphelinat.
Deux petits êtres que l’on séparera deux mois plus tard, car monsieur en veux bien un mais pas deux, car madame la directrice juge qu’ils sont petits, qu’ils ne le sauront jamais. Et que cette histoire de lien, n’est que foutaise.
Alors le plus âgé des deux, d’une quinzaine de minutes, quitta son petit frère, en pleur. C’était des adieux, ils le savaient, même à huit mois, on le sait, parce que l’on est encore innocent et qu l’on ressent tout.
Les nouveaux parents heureux d’avoir enfin un enfant, l’adoptèrent et lui firent porter leur nom. Larry Viqtan disparu pour devenir Larry Stovo, l’enfant de Pierre et Catherine Stovo.
Ryan, lui, resta Ryan Viqtan, fils unique, orphelin unique. Jamais on ne lui dira la vérité, il ne devait pas savoir, pour son bien, car grandir sans parents seul, entouré d’autres enfants, mais seul, n’était pas facile, rajouté à cela qu’il lui restait encore un parent, un frère, aurait pu le détruire.
Les années ont passés, 24 années pour être précis. L’age des jumeaux.
Ryan travail depuis six ans dans un bar, depuis sa sorti de l’orphelinat. À première vue ce bar n’avait rien de spécial. Quelques soirées à thème, une clientèle variée. Mais le bar avait une face cachée, passé minuit, la "pièce des plaisirs" ouvrait ces portes. Là où travaillait plus particulièrement Ryan, prostitué de métier, barman et serveur en guise de couverture pour la police. Mais la prostitution payait mieux. Et puis c’était le mieux qu’il avait trouvé à l’époque.
Six ans plutôt, une fois sa majorité atteinte, Ryan quitta sans un mot l’orphelinat. Il haïssait cet endroit plus que tout au monde, non, pas plus que tout au monde, ce qu’il haïssait le plus c’était le monde. Un monde de merde dans lequel on l’avait obligé à vivre. Merde, on allais pas lui faire croire que dans les années quatre vingt la pilule sa existait pas, ou l’avortement. Pourquoi l’avoir porter durant neuf mois si s’était pour l’abandonner ?
Il avait quitté l’orphelinat, depuis tout juste un mois, quand il rencontra Fabrice. Ce soir là, il était sur le point d’entrer dans le monde de la drogue, il devait payer le loyer de sa petite chambre de bonne, et l’argent gagner, à faire des petits boulots, du temps qu’il était à l’orphelinat diminuait de plus en plus. Il n’avait jamais touché à la drogue, mais il ne voyait pas d’autre solution. C’est un voisin qui lui en avait parlé, il disait que son fournisseur cherchait un revendeur. Que de toute, il n’avait qu’à refourguer la came, qu’il n’était pas obligé de consommer. Il parlait avec le fournisseur, quand un homme, il devait avoir un peu moins de la trentaine, élégant, s’approcha d’eux et proposa une place à Ryan, le fournisseur fit la remarque qu’il était déjà sur un poste. Mais Fabrice avait déclaré que Ryan était assez grand pour décider tout seul de sa vie.
- Alors, Ryan, tu veux devenir l’un de ses revendeurs, ou devenir l’un de mes serveurs ? Avait demandé Fabrice.
- Serveurs ? Laisse moi rire Fab, tu veux en faire une pute c’est tout. Qu’est-ce qui te dit qu’il aimerait se faire emboîter par tes clients ?
- Il n’y a pas que des hommes, mais des femmes aussi. Certes, j’admets que tu devrais jongler sur les deux. Mais là au moins personne ne te forcera à te droguer. Finit froidement Fabrice.
- Et, ho, du calme, je n’ai jamais forcé personne. Se défendit le fournisseur.
- Arrête, tout le monde sais comment tu fais pour garder tes vendeurs, tu les drogues de force, ainsi, quoi qu’il arrive, ils reviennent te voir, pour cause de manque. D’ailleurs si je me souviens bien, tu en as encore perdu un, encore une overdose d’ailleurs.
Alors Ryan, ton choix ? Overdose ou Sodo ?
Il ne lui aura pas fallu longtemps, pour faire son choix. Il savait ce que la drogue faisait, et s’était pour ça qu’il ne voulait pas en consommer. Alors adieu l’overdose, bonjour la sodo, s’était-il dit.
Deux jours plus tard il commençait. Il avait eu du succès dès le début, et encore aujourd’hui, il avait toujours du succès, même plus.
Six ans qu’il connaissait Fabrice, six ans qu’il se prostituait une grande partie de la nuit, et qu’il jouait les barman/serveur l’après midi.
La prostitution ne le dérangeait pas plus que ça. Depuis ses seize ans, depuis son dépucelage, il aimait le sexe. Certes au début, le sexe entre homme ne le tentait pas plus que ça. Mais Fabrice avait su le faire changer d’avis.
Aujourd’hui, ça clientèle était plus particulièrement masculine, quelques femmes aussi, mais il préférait les hommes, peu importe la position qu’il avait, dominé, dominant, peu importait pour lui.
Ryan était devenu un magnifique jeune homme, il était grand, dans le mètre quatre vingt dix, il possédait deux magnifique yeux gris acier. Et une sublime chevelure brune qui descendait jusqu’à ces reins, ce qui rendait sa taille fine encore plus féminine. Il était très fin de visage et de corps, un magnifique androgyne. D’après le médecin de l’orphelinat, il devait cette silhouette, au fait d’être tombé gravement malade bébé, il avait un peu plus de huit mois à l’époque, lui avait on dit, il avait même du resté à l’hôpital pendant plusieurs mois. Et son physique serait la conséquence des ces quelques mois d’observation à l’hôpital.
Ce soir, Ryan travail, comme pratiquement tout les soirs, d’ailleurs. Il se dirige d’un pas léger vers son "quartier", lieu où il rencontre, plus personnellement les clients.
Aujourd’hui, c’est un couple qui fait appel à ses services. Deux habitués. Ils l’ont réservé pour deux heures.
- Ryan, toujours aussi beau. S’exclama la femme, en voyant Ryan entrer dans la pièce.
- Bonsoir Sandra, Rémi. Salua Ryan. Alors je suis à vous pour deux heures ce soir, je suppose donc que je ne m’occuperais que d’un d’entre vous.
- Tu nous connais vraiment bien, mon cher Ryan, tu me diras depuis le temps. Combien de temps ça fait déjà, Sandra ?
- Un peu plus de quatre ans, et j’avoue ne jamais avoir été déçue. Répondit Sandra.
- Ravi de vous ravir. Répondit Ryan, toujours debout fasse au couple installé sur le grand lit, qui trônait au milieu de la pièce.
- Ce soir mon cher Ryan, dit Sandra en ce levant et se dirigeant vers Ryan, je veux vous voir prendre mon mari comme une chienne, faite lui mal, il aime ça. Et puis ça lui apprendra.
- On a été un vilain mari, ce mois ci, Rémi ? Questionna d’un air taquin Ryan en s’approchant du mari.
- Je ne trouve pas, j’ai simplement oublié un tout petit truc sans importance. Répondit Rémi.
- Sans importance ?! L’anniversaire de Maman ?
- Ha, conflit Belle mère/gendre. Rit légèrement Ryan.
- Oui, dit d’une toute petite voix enfantine Rémi. Baise moi pour oublier.
C’était toujours comme ça avec les Duran, s’était un jeu qu’ils avaient tous deux mis au point, et dans lequel, par professionnalisme, Ryan plongeait. Rémi et Sandra s’était marié à vingt ans, après deux ans de mariage, ils s’ennuyaient, sexuellement parlant. Quand ils entendirent parler de ce bar, ils y étaient allés pour voir. Ils firent connaissance avec Ryan.
Depuis leur première entrevue, Sandra et Rémi venaient une fois par mois, toujours ensemble, l’un regardait l’autre. Ryan prenait toujours celui qui avait commis une "faute" durant le mois. C’était toujours avec violence, sans préliminaire. Et l’observateur ne participait jamais, bien sûr il arrivait à Rémi de se masturber en regardant, tout comme il arrivait à Sandra de se doigter. Mais jamais plus.
Sandra s’était installé sur le canapé qui faisait face au lit, pendant que son mari était à quatre pattes, nu, sur le lit, écartant les fesses, et que Ryan se positionnait pour le prendre sauvagement, comme toujours.
- Haaaaa, putain de sa mère, ça fait toujours aussi mal à sec. Jura Rémi, alors que Ryan l’avait pénétré d’un coup.
- Je peu me retirer, si c’est vraiment trop insoutenable. Dit Ryan.
- NON !!!!!! S’exclamèrent en cœur le couple.
- Bouge ça va passer, comme toujours, et c’est tellement bon. Dit Rémi en bougeant son bassin.
Ryan commença alors des va et viens, de plus en plus rapide et brutaux. Rémi hurlait de plaisir. Sandra, elle avait glissé une main dans son string déjà entièrement mouillé tellement elle était excitée. Les gémissements des trois occupants résonnaient dans la pièce. Juste avant la jouissance de Ryan, Rémi l’arrêta, et se retourna toujours à quatre pattes, pour faire face au sexe durcit de Ryan. Il lui retira son préservatif, et le suça. C’est donc dans la bouche de son client que Ryan éjacula.
C’était ça le plus grand avantage dans la "pièce des plaisirs", les clients savait qu’ici il ne risquait rien, tout les trois mois Fabrice, le patron faisait faire deux test à ses employés, le premier pour les MST, et le VIH. Le second pour vérifier qu’il n’y avait pas une trace de drogue dans le sang des ses employés. "Le client aime avoir un corps sain face à lui", répétait souvent Fabrice.
mais bon ce n'est que le début et puis je suis une âme pure, je ne peux me permettre un langage déplacé, ça ne serais s'accorder avec les bonnes moeurs lol Evidemment tous ceux qui me connaisse dirons que c'est totalement faux, et ils auront raison lol
Je ne voulais pas trop choquée dès le début^^
Merci de ta visite :D
Hum... Le début de l'histoire me plait beaucoup, ainsi que l'idée. J'aime bien ton style (continue surtout). De plus c'est agréable de te lire car tu as fait un effort de présentation pour ton texte (justifier). Ca fait moins mal aux yeux !
Je vais au plus vite voir le deuxième chapitre ^^
Bon baiser d'Ambroisie
sans commentaire
sauf...I'm choquifiée!
moi je veu faire du Yaoi pour écrire des scènes d'amour, et toi tu veu faire du yaoi pour la sodo
hihi