Ne jamais se fier aux apparences

Dimanche 15 juin 7 15 /06 /Juin 14:47

- Permettez moi de vous présenter, encore une foi, toutes mes sincères condoléances. Dit un homme de la cinquantaine en s’asseyant derrière son bureau et en invitant son "invité" à en faire de même. J’ai cru comprendre que c’était votre dernier parent vivant.

 

- Oui, en effet, mes parents sont mort tôt, c’est elle qui m’a élevé seule. Elle était tout pour moi. Dit le jeune homme, dont les joues étaient encore marqué par les récentes larmes qui y avaient coulé.

 

- Votre grand-mère était une femme formidable. Je vais donc procéder à la lecture du testament. Votre grand-mère tenait à ce que je vous lise ceci. Expliqua le Notaire, avant d’ouvrir une enveloppe.

"Mon cher Reiji,

Si tu savais comme je suis fière de toi, et je suis persuadée qu’il en va de même pour tes parents.

Je sais que tu ne voulais plus rien recevoir de moi, mais même si ta librairie fonctionne bien, pour l’instant, tu n’es jamais à l’abri d’un coup dur. Alors je te lègue la moitié de ma fortune, l’autre ira à mon association, dont Mme Gity Sandra se chargera. La demeure familial deviendra un recueil pour les sans abris, pour l’association.

Mais il est hors de question que je laisse mon petit fils à la rue. J’ai donc pris la liberté d’acheter un appartement rue Voltaire, je sais c’est le quartier le plus cher de Marsné, mais on ne discute pas les décisions des ses aïeux, et rien n’est trop beau pour toi.

Maître Hy te donnera les clés, ainsi que tout ce don tu auras besoin. J’ai aussi pris la liberté de m’occuper de la décoration, mais ne sois pas inquiet, c’est dans tes goûts et non dans les miens.

J’aurais tellement voulu rester près de toi plus longtemps mon ange. Ne te laisse pas marcher sur les pieds, marche droit, la tête haute, et n’oublie pas de te brosser les dents.

Ta grand-mère qui t’aime."

Voilà, sachez, que toutes les demandes de votre grand-mère vont être respecté à la lettre.

 

- Excusez moi, mais me serait-il possible de garder la lettre ?

 

- Bien évidemment, je vous demanderez de signer ces quelques documents, et je vous laisserais prendre possession de votre nouveau logement, étant donnez que Mme votre grand-mère avait pris les dispositions, pour que vos affaires sois déménagé pendant l’enterrement et votre présence ici.

 

- Elle a toujours su imposer ses choix, rit Reiji en repensant au dynamisme de sa grand-mère. Elle me manquera.

 

- Si je puis me permettre, elle manquera à toutes les personnes qui ont eu la chance de la côtoyer. Renchéris le notaire en regroupant les documents fraîchement signer, et en donnant les clé ainsi que les reste des documents à Reiji.

 

- Encore toutes mes condoléances, Monsieur Krispio. Au revoir.

 

- Au revoir Maître Hy.

 

Sur ces dernières paroles Reiji pris la direction de son nouvel appartement, tel que l’avait décidé sa grand-mère. Il appela un taxi, une foi à l’intérieur et l’adresse indiquée au chauffeur, il laissa libre cour à son chagrin. Une tumeur au cerveau, mal placée, impossible à opérer. Voilà de quoi Mme Krispio Giselle était décédé. Et il n’en avait rien su avant son entrée en clinique. Pourquoi ne lui avait elle rien dit ? Ho ça il le savait, elle le lui avait dit, parce qu’il se saurait trop inquiété, qu’il y aurait trop pensé, et qu’il n’aurait plus profité de la vie. Et que c’est ce qu’elle voulait, qu’il profite, qu’il vive, elle aimait tant le voir sourire. Son petit ange, à la peau blanche comme la neige et aux magnifiques cheveux bruns, qui descendait jusqu'à la moitié de son dos, son petit ange aux yeux bleu turquoise telle les mers des caraïbes. Plonger dans ces yeux était pour elle un océan de bonheur. Mais aujourd’hui ces yeux sont noyés dans un océan de larmes.

 

- Voilà Monsieur, 69 rue Voltaire.

 

- Tenez, et merci. Dit Reiji en payant le chauffeur avant de se retrouver debout devant cet immense immeuble, grand standing. L’entrée était semblable à celle que l’on peut trouver dans les plus grands hôtels à travers le monde. Son logement se trouvait au sixième étage. Tous les logements étaient des duplex, et l’on trouvait par pallier deux logements.

Arrivé à son étage, Reiji fut bien triste de constater qu’il n’y avait pas d’erreurs à l’adresse indiqué sur les documents, il résiderait bien dorénavant, au 69 rue Voltaire, son nom était déjà marqué sur le coté de la porte. Et pour couronner le tout, son logement était le numéro 13.

 

- Encore heureux que je ne sois pas superstitieux mamie. Dit Reiji en pénétrant dans son nouveau chez lui.

 

Et quel chez lui, rien que l’entrée et ce qu’il pouvait percevoir du salon/salle à manger lui plaisait. Des couleurs chaudes sans pour autant agresser le regard. Un mobilier moderne avec une note d’ancien. Sa grand-mère n’avait pas mentit. Il venait d’effectuer le tour du propriétaire, après avoir ouvert toutes les portes, qu’il trouvait sur son passage. Toutes ces affaires étaient là, ranger même, et toutes les pièces étaient dans ces goûts. Sa grand-mère le connaissait vraiment bien.

 

 

 

 

La nuit était tombée et pendant que, derrière la porte numéro 13, Reiji préparait sa journée de demain avant d’aller ce coucher. Une jeune femme se tenait debout devant la porte numéro 14, et attendait patiemment que le propriétaire des lieux réponde à son coup de sonnette.

Ce qui arriva un bon quart d’heure plus tard, l’homme d’un bon mètre quatre cinq, et d’une carrure sportive, ouvrit à la jeune femme rousse qui entrât sans même adressé un mot. L’homme aux cheveux châtain désordonné, referma derrière elle, avant de la rejoindre dans sa chambre.

Elle était là, étendue sur le lit, il ne lui restait déjà plus que les sous vêtements, un ensemble en dentelle rouge avec porte jarretelles et bas assortis.

 

- Tu aurais pu tout enlever, tu sais. Dit l’homme en se rapprochant du lit.

 

- Ho mais je voulais te laisser admirer mon nouvel ensemble, dès que je l’ai vu j’ai pensé à toi.

 

- C’est te baiser que je veux, pas d’admirer. Sinon un playboy aurai fait l’affaire.

 

- Toujours aussi gentil, à ce que je vois. Dit la jeune femme, en déboutonnant le jean de son amant. Mais, moi je peux te donner quelque chose qu’un magazine ne pourra jamais t’apporter.

 

Sur ces dernier mot elle engloutit (^^) le sexe durcit, dans sa bouche. Et commença de long va et viens, rapide, et puissant. Ce qui fit jouir l’homme dans ça bouche. Elle recracha la semence dans un mouchoir, et se positionna à quatre pattes, offrant à l’homme son fessier. Elle dégagea légèrement la ficelle de son string, et se cambra, de telle manière à présenter ses deux entrées.

 

- Choisi celui qui te conviendra le mieux pour ce soir.

 

- Tu sais ce que j’aime, et pour ce soir ce sera les deux.  Dit l’homme, en pénétrant sauvagement le vagin déjà mouillé par l’excitation de la jeune femme. Puis en dirigeant un doigt humidifié vers l’orifice anal.

 

- Haaaannnn plus !!! ‘t’en prie Raphaël plus….. Gémis la rousse, en ponctuant sa demande par des coups de rein plus fort que ceux donner par le dénommer Raphaël.

 

- On est gourmande ce soir, souris Raphaël en retirant son doigt pour y en introduire trois d’un coup. Ce qui procura un hurlement mêlé de douleur et de plaisir à la jeune femme.

 

- Change, tout de suite, hummm.

 

Comprenant la demande, il se retira du vagin, pour pénétrer avec force l’anus offert. Dans ces actes il n’y avait aucune tendresse, aucun amour, rien. Juste de la force, de la brusquerie. Ce n’était pas un acte d’amour, mais un acte purement bestial. La chambre était remplie de gémissements graves et aigus de plaisir.

 

Une fois l’orgasme atteint, l’homme se retira, et parti vers sa salle de bain, suivi de près par la jeune femme rousse.

 

- Tu crois aller où comme ça ? La questionna Raphaël en lui faisant face.

 

- Prendre une douche, tu m’en as mis partout. Répondit naturellement la jeune femme.

 

- Est-ce que mon appartement se serait subitement transformé en bain public ?

 

- Non, mais …

 

- Mais rien Cassandra ! L’interrompit Raphaël. J’avais juste envie de baiser, pas de te garder après. Alors merci pour ce moment, et au revoir.

 

Sur ces mots, il claqua la porte de la salle de bain. Cassandra était habitué à son comportement depuis le temps.

Une demi-heure plus tard, Raphaël sorti de la salle de bain, Cassandra avait quitté les lieux, seul un bout de papier, laissé sur le bureau de Raphaël, rappelait la venue de la jeune femme.

 

"Raphaël,

Te connaissant tu vas encore travailler toute la nuit.

Merci pour ce moment, intense, je dirais.

Rappel moi quand tu veux.

Cassandra."

 

- Je n’y manquerais pas. Les femmes mariées, il n’y a pas mieux au pieu. Soupira Raphaël en se postant devant son ordinateur.


Par YaYa - Publié dans : Ne jamais se fier aux apparences - Voir les 5 commentaires - Ecrire un commentaire

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